Si tu es un tant soit peu doué, tes proches ont de la chance.
Dans le cas contraire, ils t’aiment pour ce que tu es, et tu as de la chance. En rentrant ce soir, tu as pu t’arrêter chez Philippe, ton boucher, faire un crochet par chez Vincent récupérer un petit canon. Tu vas pouvoir émincer, faire revenir, goûter, assaisonner, goûter -encore-, ajuster, dresser…
Est-ce dû aux parfums, aux couleurs, mais le simple fait de cuisiner ce soir t’aura apporté un regard neuf sur le projet qui t’occupe aujourd’hui. La table est mise, tes amis sont là. Ils ne sont jamais loin d’ailleurs. Tout est prêt et tu n’as plus qu’à profiter.
La créativité est partout, libère ton potentiel chez nous.
Ce que nous aimons ?
Paroles de monkeys
Ce soir, c’est moi le Chef !
J’adore ce que je fais. Vraiment. Mais on va pas se mentir, parfois il faut se défouler. Et souvent il faut se ménager un sas de décompression. Pour moi la cuisine remplit bien ce rôle. Le choix de mon cadre de vie me permet de bien vivre cette passion. Je vis au Puy-en-Velay, un grand village, dans lequel j’ai mes habitudes. Je connais mon caviste, mon boucher, mon poissonnier (oui on peut vivre en Auvergne et manger autre chose que des salaisons et du fromage)…
C’est une passion partagée par plein de monde à l’agence, et comme « L’intestin est notre second cerveau », c’est un plaisir de parler bouffe et de s’ouvrir aux goûts de chacun. Même si parfois je peux être consterné de voir ce que mangent certains. Il faut que jeunesse se passe.
Pour les soirs où je ne veux pas être en cuisine, j’ai mes petites adresses : chez Bruno, chez Laurent, chez Michel, chez Calou, chez Alexis, chez Vincent. Mention spéciale pour les mojitos de chez Djam’.
Emmanuel
Le Puy-en-Velay